Saint Valentin, quelques siècles d' amour ...
Pour le reste les avis divergent beaucoup.
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Cependant, à cette explication d’ ordre historique, on peut en préférer une autre, issue de la croyance populaire et sans doute plus poétique. On dit en effet que dès le Moyen âge l’ opinion se répandit en France et en Angleterre que la saison des amours chez les oiseaux débutait le 14 février et que, prenant exemple sur eux, les hommes trouvèrent ce jour propice à la déclaration amoureuse. C’ est ainsi que depuis, à la Saint Valentin, chaque Valentin cherche sa Valentine pour mieux roucouler au printemps.
C’ était un homme bon et généreux , toujours prêt à aider ses amis chrétiens martyrisés.
Doux et accueillant, Saint Valentin l’ était avec tous, tout particulièrement avec les jeunes couples car il sentait battre son cœur au même rythme qu ’eux.
Heureux les amoureux qui allaient le consulter, leur avenir devenait plus évident et leur choix plus éclairé, car des yeux de Valentin émanait une lumière qui traversait le cœur et parfois une vie.
Quand un jeune homme, en proie au doute, venait lui demander conseil, il repartait toujours le cœur serein, et à la fin de sa visite, sur le pas de sa porte, Valentin lui remettait une fleur de son jardin qu’ il s’ empressait de porter à l’ élue de son cœur. Doucement, la fleur s’épanouissait et les pétales, en tombant se transformaient en chastes baisers
En 268, L’empereur, Claude II Le Cruel, avait beaucoup de difficultés pour trouver des soldats pour ses multiples campagnes militaires. Aussi, il décida d’interdire les mariages car, pour lui, les hommes mariés ne faisaient pas de bons soldats. Valentin décida de marier secrètement les jeunes amoureux.
Pour avoir transgressé la loi, Claude II le fit arrêter. En prison, Valentin reçut beaucoup de messages de soutien et d’encouragement, car beaucoup croyaient en l’amour. Certains lui mettaient même des fleurs sur sa fenêtre.
Julia, la fille de son geôlier, aveugle de naissance fut toucher par cette arrestation et demanda à son père de le rencontrer. Durant sa captivité, elle lui rendit de nombreuses visites. Elle lui apportait même à manger. Valentin lui décrivait le monde, la nature et lui parlait de son Dieu. Touché par la détresse de la jeune fille, Valentin implorait son Dieu matin et soir pour qu’elle retrouve la vue. Puis, un soir, lors d’une de ses visites, une lumière illumina la cellule. Julia se mit à pleurer car un miracle venait de se produire, elle voyait enfin ! « Je suis heureuse » dit-elle « je voulais tellement voir tout ce que vous m’avez raconté… ». Devant ce miracle, toute la famille de Julia se convertit à la religion chrétienne.
L’empereur Claude II fut informé rapidement de ce miracle et Valentin, ayant refusé de renier son Dieu, fut condamner à mort. La veille de sa mort, il écrivit une dernière lettre à Julia, l’invitant à rester près de son Dieu et la signa : « de votre Valentin ». Le lendemain, Valentin fut battu, brisé par les coups de bâtons des soldats romains, pour être enfin décapité sur la voie fléminienne, le 14 février 268. Il est dit que Julia planta un arbre rose fleuri d’amandes près de sa tombe.
Ce dernier était le descendant de Saturne (l'équivalent du Chronos grec.). Divinité protectrice des troupeaux et de leur fécondité, Faunus s'attaquait aussi aux loups, d'où son surnom de Lupercus (lupus signifiant "loup", en latin.).
Souvent représenté avec des jambes et des cornes de chèvre, cette divinité fut ainsi associé au dieu Pan de la mythologie grecque.
Le 15 février, les douze luperques, prêtres de Faunus (ils s'agissait de jeunes hommes.), se réunissaient dans la grotte du Lupercal, au pied du mont Palatin (c'est à cet endroit que Remus et Romulus, selon la légende, auraient été allaités par une louve.).
Les douze luperques, vêtus d'un simple pagne, sacrifiaient alors un bouc. Puis, le prêtre sacrificateur posait le couteau empreigné de sang sur le front des luperques, sang qui était ensuite essuyé avec un flocon de laine trempé dans le lait.
A ce moment là, les douze hommes riaient aux éclats, puis couraient dans les rues de Rome. Armés de fouets en peau de bouc, ils fouettaient alors les jeunes femmes afin de les rendre fécondes (le bouc était symbole de fécondité.).